23.3.09

Programme du colloque : 26 juin

9h30-10h00 – Accueil des participants

10h00 – Session 4 : La réception du débat et son impact sur l’archéologie
Présidence de séance : Jean-Pierre Mohen (Directeur du projet de rénovation du Musée de l’Homme)

Nathalie Richard : 1859. Les sociétés savantes et la question de l’antiquité de l’homme
Nadia Pizanias : Répercussions de l’affirmation de la haute antiquité de l’homme dans la presse chrétienne
Fanny Defrance : La question religieuse dans la première archéologie préhistorique
Monique Rémy-Watté : 1859 et la naissance de l’archéologie préhistorique en Normandie
Piotr Daszkiewicz : Science en exil - Le rôle des émigrés politiques dans la réception du darwinisme, la naissance de l’anthropologie et le début des recherches préhistoriques en Pologne

12h00 – Débat session 4

12h40 – Déjeuner

14h00 – Session 5 : L’histoire à l’épreuve de la pratique archéologique actuelle
Présidence de séance : François Sémah (Directeur du département de préhistoire du MNHN)

Jean-Jacques Bahain, Pierre Antoine, Patrick Auguste, Jean-Pierre Fagnart, Nicole Limondin-Lozouet, Jean-Luc Locht : Quaternaire et préhistoire dans la vallée de la Somme, cent cinquante ans d’histoire commune
Alain Tuffreau : Les premières industries dans le Nord de la France : un état de la question
Marylène Patou-Mathis : Apports des ossements fossiles de grands mammifères au débat sur l’ancienneté de l’Homme

15h00 – Pause

15h30 - Session 5 (suite)


Florence Bouvry : L’influence des idées sur le jugement émis sur le Mésolithique et ses productions esthétiques
Denis Vialou : …Et l’art fit l’homme
François Sémah, Serge Bahuchet, Jean-Pierre Mohen, Évelyne Heyer, Dominique Grimaud-Hervé, Zette Cazalas : L’Homme à la visite de son temps, de ses espaces et de sa vie. Introduire le temps de la Préhistoire dans un nouveau Musée de l’Homme

16h30 - Débat
session 5

17h30 – Synthèse et conclusions

À partir des points forts des différentes communications présentées, les organisateurs proposent une discussion générale dont la teneur reste évidemment à préciser mais qui explorera deux principales pistes :
- d’une part, l’apport des nombreux travaux conduits ces vingt dernières années sur l’histoire de l’archéologie à la conception de la fondation de la préhistoire en tant que discipline,
- d’autre part, la façon dont nos interrogations sur l’année 1859 nous conduisent à repenser notre connaissance de la préhistoire ancienne et notre regard sur nos pratiques archéologiques.